Jean d'Ormesson
Edmond Blattchen reçoit Jean d'Ormesson (2011).
Réputé pour son immense culture et pour ses réparties spirituelles, Jean d'Ormesson était diplômé de l'Ecole normale supérieure. Licencié ès lettres et en histoire, il était également agrégé de philosophie. Il a présidé le Conseil international de la philosophie et des sciences humaines de l'UNESCO et il a dirigé le grand quotidien Le Figaro. On se rappelle particulièrement de La Gloire de l'empire, Histoire du Juif errant, Une fêtes en larmes, C'est l'amour que nous aimons, Voyez comme on danse, etc. Membre de l'Académie française depuis 1973, il était surtout connu pour ses romans encyclopédiques, savants mélanges de savoir et d'imagination, véritables "romans de la totalité" où il n'hésite pas à convoquer Dieu en personne pour le questionner, pour lui donner la parole voire pour dialoguer avec Lui "d'égal à égal". A l'Académie française, Jean d'Ormesson avait été le grand artisan d'une véritable révolution : l'entrée, en 1981, de Marguerite Yourcenar, la 1ère femme admise sous la coupole.
Jean d'Ormesson
Edmond Blattchen reçoit Jean d'Ormesson (2011).
Réputé pour son immense culture et pour ses réparties spirituelles, Jean d'Ormesson était diplômé de l'Ecole normale supérieure. Licencié ès lettres et en histoire, il était également agrégé de philosophie. Il a présidé le Conseil international de la philosophie et des sciences humaines de l'UNESCO et il a dirigé le grand quotidien Le Figaro. On se rappelle particulièrement de La Gloire de l'empire, Histoire du Juif errant, Une fêtes en larmes, C'est l'amour que nous aimons, Voyez comme on danse, etc. Membre de l'Académie française depuis 1973, il était surtout connu pour ses romans encyclopédiques, savants mélanges de savoir et d'imagination, véritables "romans de la totalité" où il n'hésite pas à convoquer Dieu en personne pour le questionner, pour lui donner la parole voire pour dialoguer avec Lui "d'égal à égal". A l'Académie française, Jean d'Ormesson avait été le grand artisan d'une véritable révolution : l'entrée, en 1981, de Marguerite Yourcenar, la 1ère femme admise sous la coupole.